Les hélicoptères de la @ba120cazaux participaient depuis le 22 septembre à un exercice militaire d’ampleur. L’objectif: coordonner les actions de 50 aéronefs et 1000 aviateurs dans des scénarios réalistes de combats intenses. Les armées de l’air du Royaume-Unis, du Canada, de Grèce et d’Italie y étaient associées.
« La guerre au porte de l’Europe, nous oblige à intégrer beaucoup plus de stratégie dans nos entrainements qui sont d’habitude plus techniques », explique le commandant Maurice, pilote sur Caracal, tout juste rentré de mission.
L’exercice est également l’opportunité de tester de nouvelles #technologies de communication. La guerre est aussi électromagnétique : » L’objectif est de perfectionner les compétences, en recherchant la plus grande représentativité et le plus grand réalisme de la guerre moderne », précise-t-on à l’armée de l’air. Compétitivité versus Rusticité. Pour le nouveau Commandant de la Base de Cazaux, le Colonel Kuhlmann : « il faut être capable de s’affranchir des technologies modernes en cas de brouillage des communications par exemple. »
Un deuxième escadron d’hélicoptère à Cazaux d’ici 2032
En étant associée à un exercice de cet ampleur, la Base Aérienne confirme son pôle d’expertise dans le domaine des hélicoptères. L’#escadron Pyrénées (opérations spéciales) sera renforcé d’un second escadron d’ici 2032 pour l’aider dans ses missions de « Search and Rescue » et de formation des futurs pilotes Caracal.
